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    Le beau crépuscule de la mégastar indienne Amitabh Bachchan ...

    L'histoire : Née dans une famille anglo-indienne, Michelle McNally est une brillante et intelligente fillette de huit ans qui vit dans un monde de silence et de ténèbres, sans moyen d'en sortir. Avide de communiquer, son esprit vit dans une frustration qui débouche sur la violence, la destruction et les crises de fureur. Mais le destin a pour elle d'autres desseins.

    Professeur de 48 ans, Debraj Sahai est un excentrique alcoolique, consumé par sa fonction d'enseignant pour les sourds et aveugles. L'établissement où il exerce réclame son départ, arguant son alcoolisme et sa vue déclinante. Le proviseur de l'établissement garde confiance en ses capacités et l'envoie dans la maison des McNally pour s'occuper de la jeune Michelle.
    En rencontrant celle-ci, Debraj prend conscience que le seul moyen d'aborder son cas est de la choquer, d'être à la fois agressif et tendre.. Black, tout un symbole, et à la fin, c'est à l'élève de réapprendre à son professeur, atteint d'Alzeihmer.

    Un très beau film dédié à la fondation Hellen Keller et basé sur l'histoire de cette américaine née sourde, muette et aveugle, (Miracle en Alabama) qui grâce au dévouement et à la constance sans faille de son institutrice obtint ses diplômes et sillonna l'Amérique en donnant des conférences.

    Ici, le jeune réalisateur Sanjay Leela Bhansali transpose magnifiquement l'histoire et nous propose de grands moments d'émotions grace à une image impeccable et une direction d'acteurs totale sans faute. Une valeur déjà sûre et pillier dans l'industrie cinématographique indienne.

    Là je fais deux très grosses mentions spéciales : Amitabh Bachchan (Debraj Sahai) impérial, et la ravissante Rani Mukerji (Michelle McNally) dont l'interprétation porte le film ; Toutefois, il ne faut pas s'y tromper le casting est d'or, en particulier la jeune Ayesha Kapoor qui incarne Michelle enfant.

    Allez, instants images ....












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  • Synopsis : Bienvenue dans le monde de OZ : la plateforme communautaire d'internet. En se connectant depuis un ordinateur, une télévision ou un téléphone, des millions d'avatars alimentent le plus grand réseau social en ligne pour une nouvelle vie, hors des limites de la réalité.

    Kenji, un lycéen timide et surdoué en mathématiques, effectue un job d'été au service de la maintenance d'OZ. A sa grande surprise, la jolie Natuski, la fille de ses rêves, lui propose de l'accompagner à Nagano, sa ville natale.


    Il se retrouve alors embarqué pour la fête traditionnelle du clan Jinnouchi. Il comprend bientôt que Natsuki ne l'a invité que pour jouer le rôle du " futur fiancé " et faire bonne figure vis-à-vis de sa vénérable grand mère.
     
     
    Au même moment, un virus attaque OZ, déclenchant catastrophe sur catastrophe au niveau planétaire.
     


     
    Avec l'aide de Kenji, tout le clan Jinnouchi se lance alors dans une véritable croisade familiale pour sauver le monde virtuel et ses habitants...

    Le jeune réalisateur Mamoru Hosoda
    nous propose un très joli film d'animation, en s'appuyant sur un graphisme de grande qualité, d'un scénario inventif propice à la réflexion.

    En effet, il met très bien en parallèle deux japons : le japon moderne à la pointe de la technologie (le monde virtuel - réseau social - de Oz) avec tous les problèmes que çà comporte en cas de crise (lock-out, les catastrophes induites) et le japon traditionnel, incarné par la famille Jinnouchi, la grand-mère en particulier, avec les traditions, les valeurs ancestrales et familiales.

    Bref, un très joli instant à savourer par tous.

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  • SND

    Numéro 9, ou un dessin animé superbe mais on pose la question : pour les enfants ?

    L'histoire
    : Dans un futur proche, la Terre a été ravagée par une grande guerre entre les hommes et les puissantes machines qu'ils avaient crées. Sachant l'humanité condamnée, un scientifique crée 9 petites créatures, fragiles et sans défense à partir d'objets divers ramassés dans les décombres. Incapables de s'opposer aux machines, ils ont formé une petite communauté survivant au jour le jour dans les décombres. Mais le dernier né de cette famille, le Numéro 9 a une mission. Il détient en lui la clé de leur survie et devra convaincre ses camarades de quitter leur refuge de fortune pour s'aventurer au cœur du royaume des machines. Ce qu'ils vont découvrir en chemin représente peut-être le dernier espoir de l'humanité.

    Fait et réalisé par Shane Hacker et produit par Tim Burton, "Numéro 9" est une plongée post apocalyptique dans un monde où les hommes ce sont détruits et où il ne reste que des machines malfaisantes (grosse référence à Terminator, matiné "Alien" et "un cri dans l'océan") on retrouve également des éléments du seigneur des anneaux : neuf personnages pour répondre au péril du monde. et une plongée dans l'Ombre genre les mines de la Moria.

    Visuellement époustouflant, tant les détails du dessin sont nets et précis, un scénario cohérent et tenant en haleine les spectateurs insuflant la tension adéquate, le seul bémol c'est qu'à mon avis les plus jeunes peuvent avoir un peu peur car c'est sombre et désenchanté.

    Encore une fois, Parents, renseignez vous avant de proposer à vos petits des sorties. J'y ai vu des choupiots de 4 - 5 ans ! faut pas exagérer et les ciné ne font ils plus leur rôle de conseil ?

    Mais hormis çà c'est superbe et il faut y aller car ce long métrage est un pur bijou.

    Moment image :
    SND

    SND

    SND

    SND

    SND

    SND

    SND

    SND

    SND

    SND

    voilà c'est tout !


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  • A priori, ce n'est pas le genre de film qu'on irait voir spontanément.... il suffit d'une avant première.

    On a tous à l 'esprit le parcours de "l'ennemi public n°1" et le propos n'est pas d'attirer la sympathie, mais peut être d'essayer d'appréhender ce personnage complexe.

    La première époque, "l'instinct de mort", relate la jeunesse et les débuts de Mesrine. Richet signe là un film noir à la Melville, stylisé et carré.

    Mention spéciale pour le formidable Vincent Cassel dans le rôle titre, qui porte le film par son interprétation exceptionnelle. Mais il ne faut pas oublier Cécile de France qui interprète Jeanne Schneider, le deuxième grand amour du Gangster. Gérard Depardieu quant à lui n'est pas en reste et campe un parain plus vrai que nature.

    La deuxième époque, flamboyante à l'image des années 70, relate la fin de parcours de Mesrine et on y retrouvera aux cotés de Cécile de France, Ludivine Sagnier, qui incarne la dernière compagne de Mesrine.

    Plongée en eau trouble, mais le travail exceptionnel rendu captive le spectateur qui ne décolle pas d'un iota de son siège.

    Vincent Cassel. La Petite Reine / Roger Arpajou

    Vincent Cassel et Gérard Depardieu. La Petite Reine / Roger Arpajou

    Vincent Cassel. La Petite Reine / Roger Arpajou

    Elena Anaya et Vincent Cassel. La Petite Reine / Roger Arpajou

    Cécile de France. La Petite Reine / Roger Arpajou

    Ludivine Sagnier et Vincent Cassel. La Petite Reine / Roger Arpajou

    voilà, le mieux c'est encore d'aller dans la salle obscure la plus proche et de tacher de visionner le dyptique de bout en bout, le très bel ouvrage en vaut vraiment la peine.


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  • L'histoire : Joe Kingman (Dwayne "the Rock" Johnson) est un robuste quarterback, de l'équipe de Boston, Véritable "célibattant", il est riche, célèbre et de toutes les fêtes. L'arrivée d'une petite fille de 8 ans vient tout bouleverser. Malgré les mésaventures hilarantes de son nouveau statut de père, Joe découvre que l'argent, la publicité et les hordes de fans en délire ne font pas le bonheur. L'amour d'une seule petite fan est la seule chose qui compte.

    Dans cette comédie familiale sans prétention, The Rock nous communique son plaisir à parodier ce personnage un brin égocentrique mais attachant ainsi que tous ses camarades de jeu.

    Mentions spéciales pour Kira Sedgwick qui fait une Stella Peck ultra speedée de première, Roselyne Sanchez qui interprète Monique, la professeur de danse, et bien évidemment la jeune Madison Pettis (Peyton)


    Images :


    Madison Pettis et The Rock. Walt Disney Studios Motion Pictures France

    Kyra Sedgwick, Madison Pettis et The Rock. Walt Disney Studios Motion Pictures France

    Madison Pettis et The Rock. Walt Disney Studios Motion Pictures France

    Roselyn Sanchez. Walt Disney Studios Motion Pictures France

    et la jolie Monique .....

    Madison Pettis et The Rock. Walt Disney Studios Motion Pictures France


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