• 2011 (USA) - Réalisé par Gore Verbinski - Durée : 01h40min

    Avec les voix VO : Johnny Depp (Rango), Isla Fisher (Feve), Ned Beatty (le Maire), Bill Nighy (Jack la Morsure), Timothy Olyphant (l'Esprit de l'Ouest) ....

    avec les voix VF : Bruno Choel (Rango), Adeline Moreau (Feve) ... et un certain Feodore Atkine (Oeil de Pierre)...

    Genre : Animation , Aventure

    RANGO




    RANGOSynopsis : Alors qu'il mène sa vie sans histoire d'animal de compagnie, Rango, caméléon peu aventurier, est en pleine crise d'identité : à quoi bon avoir des ambitions quand tout ce qu'on vous demande, c'est de vous fondre dans la masse ?

    Un jour, Rango échoue par hasard dans la petite ville de Poussière, dans l'Ouest sauvage, où de sournoises créatures venues du désert font régner la terreur. Contre toute attente, notre caméléon, qui ne brille pas par son courage, comprend qu'il peut enfin se rendre utile.


    RANGODernier espoir des habitants de Poussière, Rango s'improvise shérif et n'a d'autre choix que d'assumer ses nouvelles fonctions. Affrontant des personnages plus extravagants les uns que les autres, Rango va-t-il devenir le héros qu'il se contentait jusque-là d'imiter ?

    Sous couvert de quête initiatique, Gore Verbinski nous expose cette joyeuse disgression de western spaghetti dont il reprend les plus gros standards et les codes. Pour se faire, il propose à Johnny Depp une énième collaboration en lui offrant de doubler un personnage fait sur mesure, Rango, et n'hésite pas à évoquer les symboles marquants de la filmographie de l'acteur, notamment dans "Las Vegas Parano" ou "Arizona Dream" en passant par "Pirates des Caraibes".

    Le réalisateur ne lésine pas sur les moyens avec un graphisme et une animation époustouflants de fluidité et de réalisme, un scénario solide et jubilatoire et il s'offre en plus le plaisir d'y inclure une multitude de références et clins d’œil qui sont un vrai bonheur.

    Bref, suivez sans hésiter les tribulations d'un petit lézard qui au cours de sa quête d'identité se révèle et on assiste à de vrais moments de bravoures tant scénaristiques que scéniques qui mettent petits et grands en joie.

    Ah au fait, je ne voudrais pas spoiler, mais ..... si vous voulez savoir qui est l'Esprit de l'ouest et le voir, vous savez quoi faire.


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  • Voilà la sortie du Week end : au début dubitative eu égard aux TRES mauvaises critiques média et à une quantité d'autres avis, j'y suis quand même allée, par pure curiosité.

    Bien m'en eu pris, car j'ai passé un très bon moment. Si ce n'est pas le chef d'oeuvre du siècle (on ne peut pas demander à tous les films d'être oscarisables ou césarisables) le troisième opus ciné des aventures de notre gaulois le plus célèbre s'acquitte très bien de sa mission essentielle : divertir en famille.

    L'histoire : Résidant dans notre village d'irréductibles gaulois, le jeune Alafolix (Stéphane Rousseau) est cependant irrémédiablement amoureux de la belle princesse grecque Irina. Las, c'est compter sans Brutus, le fils de JC (Jules César) lui aussi prétendant à la main de la belle achéenne. Pour les départager, les jeux vont s'organiser, et les coups tordus aussi.

     Je pense qu'il ne faut pas comparer cet opus à "Mission Cléo" car les concepteurs sont différents (tout le monde n'a pas la verve et l'humour de Chabat) mais il ne faut pas non plus cracher dans la soupe, car l'ensemble est très agréable. Coté casting, Clovis Cornillac reprend avec talent le rôle d'Astérix, Depardieu persiste dans celui d'Obelix, nous retrouvons le regretté Jean-Pierre Cassel sous les traits de Panoramix le druide. Mais la surprise du film est sans aucun doute due à la pleiade de Guest Stars prestigieuses : Schumi, Amélie Mauresmo, Zizou ou bien encore Tony Parker et Adriana Karambeu (mais la liste est trop longue à énumérer). A noter la participation de Jamel Debouzze/Numérobis.

    Mention spéciale pour Elie Semoun (ici avec le gang des juges "incorruptibles")

     

    et pour la prestation d'Alex Astier, un temps échappé des aventures de Kaamelott, qui nous offre un Mordicus capitaine de la garde Prétorienne plus vrai et martial que nature. En revanche, M. DELON et sa mégalomanie sont la déception du film (c'est delon qui joue du delon). La seule chose drôle le concernant est la référence au Guépard de Visconti.

    Bref, si ce n'est pas "Mission Cléo", cet opus est bourré de clins d'oeil très plaisants qui font que "les jeux olympiques" surclasse de toute facon - et sans trop de mal - "Astérix contre césar".

    A propos de clins d'oeil, observez bien, pour la séquence de la course de chars, l'arrivée de Schumi et de son coach, çà vous rappelera quelques chose, de la même manière, regardez bien la tenue vestimentaire de notre ami Stéphane pour la course... çà ne vous rappelle rien non plus !? même pas un certain Ben Hur !? looool .

    bises !!!

     

     

     


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  • Synopsis : Bienvenue dans le monde de OZ : la plateforme communautaire d'internet. En se connectant depuis un ordinateur, une télévision ou un téléphone, des millions d'avatars alimentent le plus grand réseau social en ligne pour une nouvelle vie, hors des limites de la réalité.

    Kenji, un lycéen timide et surdoué en mathématiques, effectue un job d'été au service de la maintenance d'OZ. A sa grande surprise, la jolie Natuski, la fille de ses rêves, lui propose de l'accompagner à Nagano, sa ville natale.


    Il se retrouve alors embarqué pour la fête traditionnelle du clan Jinnouchi. Il comprend bientôt que Natsuki ne l'a invité que pour jouer le rôle du " futur fiancé " et faire bonne figure vis-à-vis de sa vénérable grand mère.
     
     
    Au même moment, un virus attaque OZ, déclenchant catastrophe sur catastrophe au niveau planétaire.
     


     
    Avec l'aide de Kenji, tout le clan Jinnouchi se lance alors dans une véritable croisade familiale pour sauver le monde virtuel et ses habitants...

    Le jeune réalisateur Mamoru Hosoda
    nous propose un très joli film d'animation, en s'appuyant sur un graphisme de grande qualité, d'un scénario inventif propice à la réflexion.

    En effet, il met très bien en parallèle deux japons : le japon moderne à la pointe de la technologie (le monde virtuel - réseau social - de Oz) avec tous les problèmes que çà comporte en cas de crise (lock-out, les catastrophes induites) et le japon traditionnel, incarné par la famille Jinnouchi, la grand-mère en particulier, avec les traditions, les valeurs ancestrales et familiales.

    Bref, un très joli instant à savourer par tous.

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  • SND

    Numéro 9, ou un dessin animé superbe mais on pose la question : pour les enfants ?

    L'histoire
    : Dans un futur proche, la Terre a été ravagée par une grande guerre entre les hommes et les puissantes machines qu'ils avaient crées. Sachant l'humanité condamnée, un scientifique crée 9 petites créatures, fragiles et sans défense à partir d'objets divers ramassés dans les décombres. Incapables de s'opposer aux machines, ils ont formé une petite communauté survivant au jour le jour dans les décombres. Mais le dernier né de cette famille, le Numéro 9 a une mission. Il détient en lui la clé de leur survie et devra convaincre ses camarades de quitter leur refuge de fortune pour s'aventurer au cœur du royaume des machines. Ce qu'ils vont découvrir en chemin représente peut-être le dernier espoir de l'humanité.

    Fait et réalisé par Shane Hacker et produit par Tim Burton, "Numéro 9" est une plongée post apocalyptique dans un monde où les hommes ce sont détruits et où il ne reste que des machines malfaisantes (grosse référence à Terminator, matiné "Alien" et "un cri dans l'océan") on retrouve également des éléments du seigneur des anneaux : neuf personnages pour répondre au péril du monde. et une plongée dans l'Ombre genre les mines de la Moria.

    Visuellement époustouflant, tant les détails du dessin sont nets et précis, un scénario cohérent et tenant en haleine les spectateurs insuflant la tension adéquate, le seul bémol c'est qu'à mon avis les plus jeunes peuvent avoir un peu peur car c'est sombre et désenchanté.

    Encore une fois, Parents, renseignez vous avant de proposer à vos petits des sorties. J'y ai vu des choupiots de 4 - 5 ans ! faut pas exagérer et les ciné ne font ils plus leur rôle de conseil ?

    Mais hormis çà c'est superbe et il faut y aller car ce long métrage est un pur bijou.

    Moment image :
    SND

    SND

    SND

    SND

    SND

    SND

    SND

    SND

    SND

    SND

    voilà c'est tout !


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  • L'histoire : Joe Kingman (Dwayne "the Rock" Johnson) est un robuste quarterback, de l'équipe de Boston, Véritable "célibattant", il est riche, célèbre et de toutes les fêtes. L'arrivée d'une petite fille de 8 ans vient tout bouleverser. Malgré les mésaventures hilarantes de son nouveau statut de père, Joe découvre que l'argent, la publicité et les hordes de fans en délire ne font pas le bonheur. L'amour d'une seule petite fan est la seule chose qui compte.

    Dans cette comédie familiale sans prétention, The Rock nous communique son plaisir à parodier ce personnage un brin égocentrique mais attachant ainsi que tous ses camarades de jeu.

    Mentions spéciales pour Kira Sedgwick qui fait une Stella Peck ultra speedée de première, Roselyne Sanchez qui interprète Monique, la professeur de danse, et bien évidemment la jeune Madison Pettis (Peyton)


    Images :


    Madison Pettis et The Rock. Walt Disney Studios Motion Pictures France

    Kyra Sedgwick, Madison Pettis et The Rock. Walt Disney Studios Motion Pictures France

    Madison Pettis et The Rock. Walt Disney Studios Motion Pictures France

    Roselyn Sanchez. Walt Disney Studios Motion Pictures France

    et la jolie Monique .....

    Madison Pettis et The Rock. Walt Disney Studios Motion Pictures France


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